Deux parties : l'une consiste dans le cheminement dans un dédale de cloisons colorées, l'autre dans un espace brisé par les reflets de murs de glaces différemment orientées. Nous l'avons visité avec peu de personnes ce qui donnait de grands espaces de mouvements.
Un reflet magique : à la suite de son exposition, Daniel Buren a réalisé la couverture (provisoire) de cette surface avec les miroirs de sa deuxième scénographie. Le miroir devient avec " Echo d'échos : Vues plongeantes " la matrice d’une nouvelle proposition qui souligne la charpente en mélèze et épicéa, assemblage de 1 600 pièces de bois, recouvert d’une membrane en téflon et fibre de verre.