Version sculptées sur un immeuble de Metz des blasons de la Lorraine et de la ville de Metz.

"Qui les couleurs voudra savoir de nos armes ? C’est blanc et noir. C’est que par blanc (argent) : Vitas bonis, et par noir (sable): Mors est malis"  (par le blanc : la vie aux bons ; par le noir : la mort aux méchants).

A l'entrée de la cathédrale il y a d'un côté du Portail de la Vierge, une femme les yeux bandés -elle ne voit pas l’Unique Vérité-, portant les tables de la Loi à l’envers, car elle ne sait pas les lire et ne respecte pas les dix commandements. Elle s’appuie sur un bâton brisé en quatre morceaux (elle ne peut pas conduire le peuple des fidèles au paradis réservé aux croyants en la vraie foi). Elle représente le judaïsme. (texte d'après Paul Berger de la LDH).

Cette statue date de 1903, époque où l'antisémitisme était très grand (en France et en Allemagne, affaire Dreyfus 1894-1906). Faut-il la détruire (comme cela a été le cas pour des milliers de statues sous la révolution française) ? Non, c'est un fait historique. Il suffit de l'expliquer aux personnes qui se posent des questions.

Une autre sculpture est présente sur le portail : celle représentant le Graoully. Selon une légende du Xè siècle, cet animal mythique de type dragon fut vaincu par Saint-Clément qui l'étrangla avec son étole puis le jeta dans la Seille. Il représentait les religions païennes chassées par le christianisme.

Le Torii, portique japonais où l'on passe pour se purifier avant de rentrer dans un sactuaire